Vendée gothique

152 Journée d’études, CVRH LOUIS CAZAUBON OLWXUJLTXHV HQ SDUWLFXOLHU HW OHXUV LQÀXHQFHV VXU O¶DUFKLWHFWXUH UHOLJLHXVH ; ni un SDUWL SROLWLTXH G¶DXMRXUG¶KXL RX GH MDGLV SDU H[HPSOH HQWUH FDWKROLTXHV HW SURtestants, huguenots et parti du roi, etc.) ; ni un régime : l’Ancien ou le Nouveau. Celui qui s’inscrit dans le temps long regarde ou essaie de regarder l’histoire, ce qu’on peut en savoir, de manière aussi rigoureuse et factuelle – voire critique – que possible, avec les yeux de l’objectivité, avant de décider dans quelle direction il est bon d’aller ou de ne pas aller pour continuer à travailler et à œuvrer à la sauvegarde de ce patrimoine religieux. Cette vision du patrimoine religieux est donc très vaste et très riche et nous invite quotidiennement à la prise de hauteur et à la prise de recul, bien au-delà des seules vicissitudes de la gestion matérielle des lieux d’exercice public du culte : gestion du « clos et du couvert », lutte contre les pigeons et les fuites d’eau, PLVH HQ VpFXULWp UHVSHFW GHV QRUPHV G¶DFFHVVLELOLWp« 9RLOj HQ WRXW FDV OD YLVLRQ de la «Mouche du Coche»« Observer, observer, observer En 2017 a été créée au sein de l’association une commission « ÉGL¿FHV ª j laquelle ont été assignés quatre axes prioritaires : l’observation, la recherche, la JpQpUDWLRQ GH SURMHWV HW OD UHFKHUFKH GH VRXUFHV GH ¿QDQFHPHQW 3RXU OD PLVH HQ place du premier, l’observation, la commission a été grandement aidée par les conseils et les encouragements amicaux de Catherine de Maupeou, inspectrice générale honoraire des Monuments historiques, avec cette recommandation préalable : « 6L YRXV YRXOH] pWXGLHU XQ pGL¿FH LO IDXW G¶DERUG REVHUYHU REVHUYHU REVHUYHU« ª 8QH LQYLWDWLRQ j OHYHU OH QH] UHQRXYHOpH SDU 0DWKLOGH 3XEHUW GRFtorante en histoire, spécialiste de Notre-Dame : « Il faut continuer à observer ! » $XMRXUG¶KXL HQ H̆ HW DYHF FHV TXHOTXHV DQQpHV GH UHFXO OHV PHPEUHV GH OD commission sont désormais convaincus que l’RQ Q¶REVHUYH MDPDLV VẊ VDPPHQW &¶HVW HQ SDUWLFXOLHU HQ REVHUYDQW OH EDV GH OD ÀqFKH GH 1RWUH 'DPH à la jumelle, que furent redécouvertes ces merveilleuses statues du XVe siècle qui ornent le clocher juste en dessous de sa première galerie, sans qu’on n’y prête plus réellement DWWHQWLRQ /HXU pWXGH D UDSLGHPHQW FRQGXLW j UHOLUH GH PDQLqUH FULWLTXH O¶KLVWRLUH de l’église Notre-Dame au sein de la cité. Ainsi, en faisant visiter la ville et l’église Notre-Dame à Adeline Rucquol, historienne spécialiste de la péninsule ibérique et des Chemins de Saint-Jacques de Compostelle, l’attribution des statues, noWDPPHQW GH O¶XQH G¶HOOHV j OD ¿JXUH GH VDLQW 'RPLQLTXH j F{Wp GH OD PDJQL¿TXH

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